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jeudi 30 avril 2020
lundi 13 avril 2020
Le Paradis Terrestre
La colline de l'Ouest (le Mont Popey) le 12 avril 2020 |
mercredi 8 avril 2020
A ma chienne AZYA. Le retour du printemps
Ma
chère et douce Azya,
Le
mardi 17 mars dernier, un événement extraordinaire s'est produit.
Toute la population de notre pays a reçu l'ordre de rester confinée
à domicile à cause de la propagation d'un virus, nommé covid19, en
provenance de Chine, qui s'est répandu dans le monde entier encore
plus rapidement que la peste noire au 14ème siècle. J'ai dû
déménager dans la journée même mon matériel informatique du
bureau à la maison, avec mes dossiers de besogneux et mes
tracasseries administratives. Tout cela semble tellement dérisoire.
Car si l'humanité est appelée à passer comme les jours, la
bureaucratie, elle, bravera la fin des temps. Afin de gagner de la
place pour installer mes impedimenta dans la salle-à-manger,
j'ai dû faire un peu de rangement et j'ai honte de te le dire, j'ai
dû enfin me résigner à plier ta couche et emporter ton écuelle
que je n'avais jamais osé toucher jusque-là. Cette deuxième mort
devait bien arriver un jour. Au moment où il a fallu descendre au sous-sol ces
reliques de ton intimité, soigneusement rangées dans un sac, j'ai
senti comme une vague amère refluer dans ma poitrine, venir s'étrangler dans ma gorge jusqu'à déborder,
fiel acide, en deux filets de chaudes larmes, tout cela sans un mot.
Cela s'appelle faire son deuil. C'est en tout cas dans l'ordre des
choses; et après tout, comment pourrais-tu m'en vouloir, ma chère et douce Azya, toi l'amie et la soeur dont le souvenir reste chaudement blotti dans mon coeur.
vendredi 3 avril 2020
Jean-François PIOTON, un conscrit bourbonnais engagé dans les guerres napoléonniennes
Avertissement: Cet article est une historiographie militaire du 1er Empire, un exposé reconstitué de situations et de faits, en lien avec le destin d'un de mes ancêtres. On y cherchera en vain une invitation à la flânerie littéraire.
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